Dominance et Soumission : Les bases biologiques et Neurocognitives
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Lieu | Webinaire gratuit d'ICF Synergie |
Dominance et Soumission :
- Les bases biologiques et neurocognitives
- Comment les identifier et gérer en coaching ?
Description
Compétition ou émulation ?
On croit souvent que la compétition développe le sang-froid et pousse au dépassement de soi, si nécessaires au monde de l’entreprise !
Pas si sûr : tout ce qui s’appuie sur le rapport de force « allume » de vieux réseaux neuronaux sous-corticaux comme l’amygdale limbique, impliqués dans les relations dominant/soumis3, en cause dans l’individualisme, le court-termisme, les relations gagnant/perdant4, la prédation et la violence dite « gratuite »… et plus généralement dans la destruction de notre espace de vie : militairement, socialement, écologiquement… !
Est-ce bien l’avenir que nous souhaitons (co)construire et partager ?
A l’inverse, l’émulation stimule, elle, réellement l’intelligence et l’empathie : elle produit donc de l’intelligence individuelle et collective (alors que la compétition produit d’abord de la perversion et/ou aliénation individuelle et beaucoup de bêtise collective ☺…).
L'orateur - Jacques Fradin
Jacques Fradin est Consultant, Docteur en Médecine, Comportementaliste et Cognitiviste (AFTCC), Fondateur/Directeur Scientifique de l’IME et Directeur Pédagogique d’un D.U. (Faculté des Sciences de la Santé, Université de Bourgogne), Expert APM...
Il accompagne les changements des comportements, notamment dans le cadre de la QVT, de la RSE, de la prévention/gestion des situations de crise (il est intervenant INHESJ, HEC Executive Education, Audencia, Expert APM...), du développement durable, de l’innovation, de la santé, etc. Il est auteur ou coauteur de multiples articles et ouvrages, scientifiques et de vulgarisation, parmi lesquels L’Intelligence du stress (Eyrolles, 2008) ou Fradin, J. (2009). Du stress en situation d’incertitude et de crise : une lecture neuronale et comportementale. In T. Portal (Ed.), Crises et facteur humain : Les nouvelles frontières mentales des crises (pp. 93-106). De Boeck Université